Blue Maria
Canon AE1 x FujiPro400H
Cet été j’ai eu la chance d’être photographe pour le mariage de Sarah et Kevin. C’était une grande première pour moi et je n’en menais pas large. J’avais surtout peur d’avoir un problème matériel (heureusement j’avais deux appareils photo !), ou de ne pas avoir assez de lumière dans l’église… finalement tout s’est très bien déroulé et cela m’a donnée envie de réitérer. J’ai quelques dates déjà réservées pour 2016 mais encore plein de disponibilités, alors si vous vous mariez ou connaissez des gens qui se marient, n’hésitez surtout pas à me contacter et à partager cet article autour de vous !
Ce mariage champêtre s’est déroulé en région Parisienne dans la bonne humeur et sous un soleil radieux ! Tout le monde était si beau et si souriant que c’était presque un jeu d’enfants pour moi de prendre des photos des 140 invités.
Encore merci à S&K de m’avoir fait confiance. C’était génial et tellement émouvant… je suis impatiente d’être en Juillet 2016 pour mes futurs mariés !
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Maria La Rouge elle est venu ce jour avec du rouge à lèvres rouge et un soutien gorge rouge. Elle est venue avec son beau sourire et son regard profond. Elle est venue avec sa gentillesse et sa douceur. La sélection a été difficile et je pense que je publierai pas mal de photos à droite à gauche qui ne sont pas sur le blog. Les conditions n’étaient pourtant pas optimales à cause de la lumière mais Maria m’a tellement inspirée. J’avais déjà vu beaucoup de photos d’elle et j’avais tellement envie de la photographier ! J’ai profité de l’occasion pour faire tous les portraits que je rêvais de faire d’elle.
Merci à A & E de nous avoir prêté leur appartement et à leur chat pour sa présence bénéfique… :)
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Canon AE1 x KODAK PORTRA 160C
Souvenez-vous, l’année dernière je vous parlais de mon premier reportage mariage avec beaucoup d’enthousiasme. J’avais eu la chance que Sarah & Kevin me fassent confiance pour être la seule et unique prestataire photographe durant leur belle journée. Suite à cet article j’ai reçu des demandes qui ont bien rempli mon agenda de l’été 2016 et m’ont permis de découvrir la France entière. Je ne remercierai jamais assez tous ces couples qui m’ont fait confiance et qui me feront confiance à l’avenir ! Je prends très à cœur de donner le meilleur de moi-même pour cette journée qui vous est si particulière et d’immortaliser chaque moment important qui font votre mariage. Si vous vous mariez, n’hésitez pas à me contacter pour me parler de votre projet. :)
Cette année, la saison a commencé en beauté avec le mariage de A & M tout près d’Avignon dans une magnifique demeure familiale. Un cadre idyllique et une météo parfaite sont venus parfaire le décor d’un beau mariage avec des mariés adorables et très bien entourés.
Les photos parleront pour moi…
Tous les trois, on prend nos cliques et nos claques et on s’en va.
On va construire de nouveaux souvenirs dans une nouvelle ville.
On va vivre dans une maison, avec un étage, avec une cours.
On va travailler à la maison, ensemble, et construire des projets professionnels importants.
On va essayer de vivre de nos passions et de réaliser certains de nos rêves.
On va préparer des voyages et aussi un mariage.
Au revoir Paris, t’as été chouette durant ces sept ans.
J’ai hâte de revenir te voir régulièrement et de retrouver toutes les personnes que j’aime et qui vivent en ton sein. N’oublie pas de les laisser partir de temps en temps pour qu’elles puissent profiter du pied à terre qu’on leur offre dans le sud.
Toutes les bonnes choses ont une fin.
J’ai connu Lucie grâce à Maria la Rouge. Lucie fait de belles photos et court les brocantes pour alimenter sa jolie petite boutique : Léon Leprince.
Elle a un côté intemporel que j’ai adoré photographier. La séance photo a été très rapide, le jour tombait à grande allure sur le Canal et la lumière commençait à manquer.
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Je vous ai un peu abandonné ces derniers temps mais je vis à un rythme effréné. Je vais reprendre progressivement les collaborations plus régulières (et il y en de prévues !) et les articles ici et là pour que vous puissiez suivre mon travail. La saison des mariages commence dans moins de deux mois et je suis toute excitée à cette idée ! Je le répète encore mais si vous avez envie de photos de vous, il ne faut pas hésiter à vous lancer, on n’est pas obligé d’être modèle pour poser :)
Audrey est l’une des premières personnes qui m’a faite confiance pour la prendre en photo lors de sa grossesse. Il lui a semblé naturel (et je l’en remercie !) que j’immortalise la seconde. Cette fois, nous avons fait participer toute la petite famille mais également fait des images en extérieur. Ils ont accepté que je partage mes photos préférées et j’en suis ravie, j’aime beaucoup ce pan de mon travail et je prends plaisir à vous le montrer.
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Si vous aussi vous avez envie de faire des photos de vous, de votre famille, de vos enfants, n’hésitez surtout pas à me contacter.
Il me reste également des disponibilités pour des mariages et des EVJF.
Je peux travailler en argentique si vous le souhaitez.
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Au mois de Novembre 2014 dernier nous avons décidé de planifier un voyage. Au début nous avions imaginé un voyage en Finlande, pays que je rêve de découvrir depuis que j’ai 10 ans, mais après avoir regardé la météo là-bas au mois d’Avril je me suis rétractée. Je crois bien que j’avais envie de soleil et d’un peu de douceur (je me suis un peu mis le doigt dans l’œil d’ailleurs, mais j’y reviendrai). Nous avons donc réfléchi à une autre destination et c’est finalement la Grèce qui a été choisie. Plus particulièrement, nous avons décidé de faire les Cyclades sur une période de 10 jours. Après des recherches sur Internet nous avons conclu que 3 îles et un petit séjour à Athènes serait le mieux pour bien profiter et ne pas trop passer de temps dans les transports.
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Voici une carte de notre itinéraire qui comportait 3 ferries et un avion.
Nous avons choisi d’atterrir à Athènes, puis de partir à Tinos et d’y rester environ deux jours, poursuivre par Naxos, y passer aussi deux jours, finir les Cyclades par Santorin, encore deux jours sur place et terminer le voyage à Athènes. Nous avons énormément utilisé le guide du Routard qui nous a permis de nous loger et de bien dîner la plupart du temps. En effet, nous sommes partis seulement avec deux sacs à dos et en ayant réservé notre première nuit à l’hôtel du port de Rafina et nos deux dernières nuits à Athènes, pour avoir une contrainte horaire et être certains de rentrer dans les temps. Sur Internet nous avons également utilisé quelques sites dont voici une liste : * * *
J’ai également pris le temps de relire le blog de mon amie Aurore qui avait fait un long voyage elle aussi dans les Cyclades. J’aurais aimé partir aussi longtemps qu’eux, il y a mille choses à voir en Grèce.
Partir au mois d’Avril dans un lieu normalement si touristique a été l’une de nos plus brillantes idées. Néanmoins, nous avons regretté de ne pas avoir choisi de visiter encore plus d’îles sauvages et peu fréquentées par les touristes. Cela vient de notre personnalité et de ce que l’on recherche en voyage mais la horde de touristes présente à Santorin était un peu trop envahissante à notre goût. J’y reviendrai dans l’article consacré à l’île.
Dans ce premier article je vais vous parler de Tinos qui a été notre première île et aussi notre île préférée car nous y étions comme seuls au monde, presque les seuls touristes, au guidon de notre scooter. Cette île est également pleine de charme, très sauvage avec une population qui est principalement composée de moutons et de chats.
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Τηνος
Il faut reconnaître que mes bases en Grec Ancien acquises au lycée m’auront bien aidé afin de déchiffrer certains panneaux routiers. Cependant la plupart sont traduits alors pas d’inquiétude ! Cela m’a fait plaisir de pouvoir mettre à profit ce que j’avais appris avec tant de réticences (c’était seulement pour les points au bac !)
Tinos est donc une île du nord des Cyclades, elle se situe entre Andros et Mykonos et son port principal est Tinos et sa superficie est de 194,6 km². Elle compte parmi les plus grandes Iles des Cyclades. Tinos est une île de pèlerinage qui abrite une importante communauté catholique.
Nous sommes arrivés en Grèce par l’avion et avons atterrit un vendredi en fin de journée à l’aéroport international d’Athènes Elefthérios-Venizélos. Nous avions déjà regardé l’horaire du ferry pour partir le plus rapidement à Tinos et devions attendre le lendemain matin, 7h50. Pour être au plus près de notre bateau nous avons décidé de dormir au port de Rafina où nous avons acheté nos tickets pour le ferry immédiatement en arrivant. Après une promenade dans la ville et épuisés par le voyage nous avons bu un coup dans un des troquets qui étaient ouverts, parmi les locaux. Le port est assez joli et presque désert mais surement bien plus habitée lorsque les beaux jours arrivent. Il y a de très jolies maisons et beaucoup de chiens qui se promènent ici et là. Malheureusement, j’ai perdu toutes mes photos faites à Rafina suite à un problème avec ma pellicule… (les aléas de la photographie argentique). De notre hôtel nous avions une superbe vue sur le port et notamment sur le ferry que nous allions prendre le lendemain et qui nous attendait déjà depuis le soir.
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(photo de Rafina depuis le pont du ferry)
Après une bonne nuit de sommeil nous sommes donc partis à l’aube pour prendre notre premier ferry. Pour ma part c’était la première fois que je montais sur un bateau d’une telle envergure, il faut reconnaître que c’est impressionnant ! Nous avons fait le départ sur le pont malgré le froid, le soleil se levait encore à cette heure-ci, c’était très beau. Le vent me glaçait les os mais nous sommes restés assez longtemps pour que j’ai le temps de faire quelques photos.
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La traversée a duré un certain nombre d’heures, je ne saurais même pas dire combien, mais cela était assez rapide. Peut-être 3 heures ? C’était en tous cas plus rapide que ce que nous pensions. Nous avions volontairement choisi une île qui n’était pas trop loin pour avoir une journée complète pour la visiter. D’ailleurs, Tinos a été choisie un peu par hasard, parce que le nom nous évoquait quelque chose et aussi parce qu’il était écrit dans tous les guides qu’elle est peu fréquentée par les touristes. Le hasard fait bien les choses parfois !
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Une fois arrivés à Tinos nous avons pris le temps de respirer (1 minute) et avons foncé chez un loueur de scooters (Vidalis). Celui-ci était recommandé dans le guide parce que le fils du patron parle français. L’aventure a commencé vraiment une fois que je suis montée derrière Jérémy avec mon sac de 12 kilos qui nous faisait pencher à l’arrière. Le réservoir d’essence du scooter était presque vide mais le loueur nous a assuré que si l’on suivait le chemin qu’il nous a répété quatre fois nous allions tombé sur une station essence et pouvoir faire le plein. Vous imaginez bien que cela ne pouvait pas être aussi simple ! En effet, après avoir roulé 5 minutes (et beaucoup rigolé car c’était ce que l’on attendait depuis 5 mois et nous étions très excités d’y être enfin) nous sommes tombés… en panne ! (merci l’ami!). Nous étions donc à moitié perdus mais assez sereins, c’est le début des vacances, on n’allait pas se laisser abattre ! Nous avons commencé à pousser le scooter et rebrousser chemin en se demandant où aller au premier croisement. Un couple de sexagénaire grecs qui ne parlaient pas un mot d’anglais n’a pas du tout été en mesure de nous aider et nous a fait perdre à peu près 5 minutes, mais c’était gentil de leur part. Et puis, on ne sait pas pourquoi, un grec plus jeune et qui parlait très bien anglais a croisé notre chemin après 500 mètres à pousser l’engin et il a vite compris notre problème. Il nous a dit de le suivre et une fois arrivé devant chez lui il a rempli un peu notre réservoir d’essence, juste assez pour aller à la prochaine pompe, et afin que nous ne nous perdions pas il est monté sur le scooter d’un jeune homme qui passait par là et nous a invité à les suivre. Tellement adorable ! On n’en revenait pas ! Heureusement qu’il était là car la station était relativement éloignée, nous aurions vraiment galéré.
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Une fois le réservoir plein (7€ qui nous auront fait les 2 jours sur l’île) nous avons tracé notre route à travers les montagnes, les montées, les descentes, les petites routes en lacets, les paysages à couper le souffle, l’herbe, la mer, les moutons ! Tout était trop beau. L’avantage du scooter c’est que nous nous arrêtions sur le bord de la route aisément pour faire quelques photos et nous repartions aussi vite. Le voyage s’annonçait déjà plein de promesses. Nous avons parcourus environ 25 km jusqu’à Pirgos et sommes arrivés aux alentours de 15 heures affamés. Nous avons garé notre scooter sur la petite place du village et avons eu la brillante idée de ne pas nous aventurer dans le village mais de nous arrêter dans le restaurant qui nous faisait face et qui était, à mon avis, sur le point de fermer après le départ des derniers clients. La tenancière a accepté de nous servir et nous nous sommes régalés de salade grecque et aubergines frits trempées dans du Tsatsiki (tellement bon!). Après avoir bu et mangé nous sommes partis nous promener dans le village qui est absolument sublime, comme toute l’île en fait, et très paisible. Nous y avons croisé de nombreux chats qui doraient au soleil, l’air ravi.
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Nous n’avons trouvé nul part où dormir ici et avons donc décidé de continuer notre route vers Panormos, ville cotière à 3.5 km de là. Nous n’avons pas du tout regretté notre choix car nous avons pu trouvé une chambre dans une maison conseillée par le guide du routard, chez Maria, qui domine le village et offre une belle vue sur la mer. Pour 35 € la nuit nous avions tout le confort nécessaire afin de récupérer de cette première journée. Il y avait très peu de touristes et d’activités, nous nous sommes encore mêlés aux locaux pour prendre un verre dans le seul café ouvert. Après cela nous avons cherché un endroit où manger et il faut dire que tout était ouvert mais que personne n’allait au restaurant. Nous avons choisi le restaurant du milieu parce que le tenancier n’avait pas arrêté de nous saluer à chaque fois que nous passions devant lui (au moins 4 fois), sa stratégie de com’ marche donc plutôt bien ! Il a ouvert ses cuisines pour nous, nous a servis et nous avons mangé pendant que ses enfants et sa femme dînaient dernière nous. Nous nous sommes demandés comment une famille aussi jeune pouvait vivre en hiver, sans tourisme. Il chantait avec une voix de baryton sur des chansons grecques, ce qui m’a beaucoup amusée. C’est dans ce restaurant que nous avons découvert la purée de fèves et nous avons trouvé ça excellent ! Malheureusement nous n’en avons pas retrouvé ensuite… Nous avons mangé beaucoup, même trop, pour 18 € et ils nous ont même offert le dessert et le café.
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(vue depuis la room)
Le deuxième jour de voyage s’achève là, sur une bonne nuit dans un lit confortable chez Maria.
Dimanche matin, nous nous réveillons à 8 heures après avoir beaucoup dormi. Nous sommes reposés et près à attaquer la suite du voyage. Nous nous rendons compte que nous avons déjà vu beaucoup de l’île et allons nous renseigner pour savoir à quelle heure nous pourrions repartir aujourd’hui ou demain. Nous devons finalement prendre le ferry rapide le lendemain matin à 9h20 pour Naxos !
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(petite photo faite avec le retardateur et l’appareil posé sur une pierre)
Nous avons terminé de faire le tour de l’île avec notre fidèle destrier, il faisait moins beau que la veille malheureusement et nous avons eu un peu froid. Nous regrettons même de ne pas avoir pris de gants mais heureusement nous avions acheté des imperméables. Nous avons visité plusieurs villages, tous très beaux, et avons pique-niqué à flanc de montagne avec une vue sur la mer et entouré par les moutons.
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(pour la petite anecdote ces deux-là ce sont klaxonnés en passant)
L’après-midi nous avons fait une belle rencontre dans la ville de Xinara. En effet, nous avons été surpris par la pluie à peine arrivés et avons cherché immédiatement à nous mettre à l’abri. Rien n’était ouvert et nous avons donc du attendre sous un préau sur la place du village. Très vite nous avons été encerclé par des chats, cela m’a beaucoup fait rire même si c’était un peu flippant quand le 10ème est arrivé. Des petits vieux sont passés par là et on commençait à nous parler en grec, bien sûr, on ne comprenait rien. Finalement ils nous ont fait signe pour qu’on les suive et nous nous sommes retrouvés chez eux. L’homme, Alexenderos, parlait un peu anglais ce qui nous a permis d’avoir un semblant de discussion avec lui. Stella, elle, ne parlait pas du tout anglais mais nous a préparé de délicieux cappuccinos. Nous étions ravis bien qu’intimidés et nous nous sommes vite réchauffés autour de leur poêle. Alexander et Stella aiment les animaux, ils ont des chats, un chien très excité, Alexander a même une pièce consacrée aux oiseaux dans lequel il y a une multitude de cages et visiblement 200 volatiles. Ça pue pas mal !
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(les deux chats blancs dans leur panier avec des tissus roses d’Alexendros et Stella)
Une heure plus tard nous repartons tracer notre route pour trouver où dormir. Les villages étant tous vides nous décidons de partir vers la ville de Tinos, que nous n’avons pas encore visité entièrement, pour trouver où y dormir. Nous irons chez Virginia, qui parle Français (et dont les rooms sont très bien situées).
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(vue depuis la chambre)
C’est la dernière nuit à Tinos, l’île va nous manquer mais nous sommes impatients de découvrir la suite. Les gens y sont vraiment adorables, nous avons été très bien accueillis partout où nous sommes allés et c’était génial pour commencer notre voyage.
Retrouvez la page sur Tinos du site Hellenica pour en découvrir davantage sur l’île merveilleuse :)
* Ces photos sont uniquement faites à l’argentique – Canonet / Canon AE1
* Oui je sais, il y a beaucoup de photos d’animaux mais j’aime trop ça